POEPARO
mardi 26 février 2013
dimanche 24 février 2013
Les ENFANTS du SOLEIL
Ô Marseille
Tu rayonnes au fond du cœur de tes enfants
Leurs éclats de rire sont des appels à être accueillant
Comme avec ceux qui venaient de Là-bas
Soyons accueillant avec ceux qui disent In Challah
Avec la force de leur jeunesse
Ils traînent sur eux toute leur détresse
Marseille ne soit pas leur ghetto
Aide-les à sortir la tête hors de l'eau
Ô Marseille, on t'aime d'un amour ardent
Comme celui que nous transmettent nos parents
Sous ton soleil notre cœur d'enfant est en feu
Ô Marseille, tu es béni des Dieux
Ô Marseille, protège notre enfance
Pour que cela te donne l'espérance
Que tes enfants tous enfin unis
S'aiment comme ceux d'un même lit
Ensemble on pourra bâtir
Un bien meilleur avenir
Que séparé chacun dans son coin
On ne pourra pas aller bien loin
Comme Notre Dame de
Tous les méditerranéens te regarde
Elever tes enfants dans la paix
Ensemble comme des frères de lait.
Merci Marseille
Valentin PULICANI
mercredi 23 mai 2012
FINALE COUPE de FRANCE JUNIOR de SLAM 2012
MARC KELLY SMITH , la main sur mon épaule
FONDATEUR du SLAM à CHICAGO ETATS UNIS
VIDEOS de Groupe des SLAMEURS
mardi 10 avril 2012
MON PREMIER AMOUR
J’ai l’Amour de ma Mère et celui
de mon Père
Mais depuis que mon front est
en guerre
Contre une armée de boutons,
Je crève d’envie d’un Amour Glouton
Un Amour qui d’après les
livres
T’emporte ailleurs et t’enivre…
Le rencontrer pour la
première fois
Pour les timides c’est un chemin
de croix;
Mais pour la plupart des
jeunes,
Fin de l’abstinence et du
jeûne.
J’ai souvent entendu dire
Vraiment tout et surtout le
pire.
Sur l’amour à l’adolescence
Qui te mets en effervescence
Où dans ton corps tout ton
sang bout
Jusqu’au bout du bout
Fini de jouer à l’enfant
Je rêve à ces doux instants
Avec un désir ardent
De ne plus rester les bras
ballants.
Alors j’attends cet Amour,
J’attends ce divin jour,
Quand viendra-t-elle cette Belle
Brune
A la peau douceur et couleur
de prune ;
Aux senteurs d’Amour et de
bonheur
Celle qui parfumera mon âme
et mon cœur ?
La rencontrer un jour de
pluie,
Être tout près d’elle sous son
parapluie…
Je lui prendrai tendrement la
main
Pour faire ensemble un bout
de chemin.
Je rêve, en marchant dans les
flaques d’eau
D’elle en tenu d’Ève; la blottir
contre ma peau.
Mais l’Amour le vrai n’est
pas ce rêve
Jamais je ne pourrai
rencontrer Ève.
Moi je veux simplement d’un
pur Amour l’aimer,
Que mon corps s’abandonne à
ses doux baisers,
Je lui donnerai les clés de
mon cœur
Avec de gros bouquets de
fleurs.
Pour lui montrer toute mon
ardeur
Je frapperai fort à la porte
de son cœur.
A ses genoux je déposerai
Les plus belles roses de ma
roseraie ;
Je veux que tout son corps
tremble
Du bonheur d’être ensemble.
Je retiendrai comme un fin
gourmet
Sur mon palais, le goût de ses
baisers;
Je poserai ma main sur son
épaule
Et là je serai dans mon rôle :
Celui de la découverte
De l’Amour qui fera la perte
De cette adolescence pourrie
Où l’Amour idéal reste une
rêverie.
Sous un parapluie quel émoi !
Embrasser pour la première
fois
Que mes larmes de joie se
mélangent
Aux gouttes d’eau envoyées
par les Anges.
Cette pluie qui tombe des
cieux
Rendra ses yeux encore plus
merveilleux.
Dans une étreinte de Reine
Elle sera ma Souveraine,
Je serai son chevalier
servant
Fougueux, tendre et Aimant.
Je l’entraînerai dans le
château de mes rêves
Où sur le plus haut donjon l’Amour
s’élève ;
Je distillerai avec Amour et
volupté
La chasteté de ses baisers ;
De ces baisers-là je me
souviendrai toujours :
Ils seront ceux de mon
premier Amour
Valentin PULICANI
samedi 3 mars 2012
Je me PRESENTE à la PRESIDENTIELLE
Je m'appelle Valentin
Je vous l'annonce ce matin
Je vous l'annonce ce matin
Avec mon programme et mes idées démentielles
Je me présente à la prochaine élection présidentielle
Tous les candidats vous diront la vérité
Alors que moi toujours je vous mentirai
Chers Electeurs mettez moi à l'honneur
Je me présente à la prochaine élection présidentielle
Tous les candidats vous diront la vérité
Alors que moi toujours je vous mentirai
Chers Electeurs mettez moi à l'honneur
Je suis de Tous le plus menteur
N'hésitez pas à voter pour moi
Vous serez sûr de vous en mordre les doigts
Je vous promets de très mal gouverner
Et que le zimbabwé
Sera votre bouée
Où si vous préférez vivre dans la boue
Vous irez chez les Papous
N'hésitez pas à voter pour moi
Vous serez sûr de vous en mordre les doigts
Je vous promets de très mal gouverner
Et que le zimbabwé
Sera votre bouée
Où si vous préférez vivre dans la boue
Vous irez chez les Papous
Chez les Papous vous ferez comme emplette
De la chauve-souris appelée roussette
Soyez sûr que mon programme
Ne vous laissera d’or, pas un gramme
Ma politique sera celle d’un océan de pleurs
Et d’immenses douleurs
Je vous garantie la baisse des salaires
Et beaucoup plus de misère
Je vous garantie la baisse des salaires
Et beaucoup plus de misère
Pôle Emploi sera en profonde léthargie
Le chômage indemnisé passera dans l’oubli
Augmentation de tous les prix
De Chine on importera que du riz
J’obligerai les retraités
A changer de nationalité
Ceux qui auront trop bonne mine
Je les enverrai à la mine
Les contestataires
Je les enverrai braire
Dans les prairies
De la Beauce et la Brie
Tous les budgets de la Nation
Ne connaîtrons que la diminution
Disparition totale
De l’éducation nationale
Des portes de prisons
J’enlèverai les gonds
Autorisation de détention d’armes
Autorisation de détention d’armes
Plus besoin de gendarmes
Je légaliserai le cannabis
Je légaliserai le cannabis
Sans demander votre avis
Par un long dialogue
Je prendrai l’avis de spéléologues
Pour vider le fond du trou de la sécu
De tous ses écus
Avec l’autorisation d’alcool au volant
Baisse de la population d’un cran
Baisse de la population d’un cran
Mais pour moi, pour les Sénateurs
Les députés et les leurs
Toutes les indemnités seront augmentées
A la fin de chaque année
Vous avez compris qu’en votant pour moi
Vous deviendrez des Rois
Valentin PULICANI
samedi 25 février 2012
Une MATINEE comme les AUTRES
Fini mes rêves
Je me lève
Au saut du lit
Direction pipi
Je fais fonctionner la chasse
Un peu d’eau propre passe
Elle finit où ?
Dans les égouts
Tiens la cuvette
Reste nette
Dans la salle de bain
Je me lave les mains
L’eau coule abondamment
Je profite de me laver les
dents
Trop belle est ma bouche
Je vais sous la douche
J’ouvre les robinets
Je vais me savonner
A grands coups de jets d’eau
Je masse mon dos
Pour rincer mon corps nu
L’eau coule sans retenu
Mon linge sale rejoint
La machine à laver dans le
coin
Où pendant deux heures durant
L’eau coule en lavant et
rinçant
Je vais dans la cuisine
Avant de partir chez ma
cousine
Je remplis d’eau ma cafetière
Puis je prends une cuillère
Pour tourner mon café
Avant de m’en aller
Le lave vaisselle attends ma
tasse
Et beaucoup d’eau pour être
efficace
Par le jardin je passe
En arrosant le gazon je me
prélasse
Les jets d’eau arrosent
Mes plates-bandes de roses
Je fais le plein de ma
piscine
En passant j’ arrose les
glycines
Je rentre au garage
Je range mon bagage
De mon auto
Je soulève le capot
Dans le radiateur je fais le
plein d’eau
Pour que mon moteur ne soit
pas trop chaud
Je verse de l’eau dans mon
lave glace
Pour alimenter mes essuie-glace
Je déroule le tuyau
Pour laver mon auto
Je fini de la rincer
Avant de m’en aller
Je donne un coup de jet
Dans mon allée
Je suis enfin prêt
A démarrer
Le portail s’ouvre
Et je découvre
Mon compteur d’eau qui fui
Je téléphonerai peut-être
aujourd’hui
Mais demain comment seront
mes matinées
Si aucune goutte d’eau sort
de mes robinets
Valentin PULICANI
dimanche 19 février 2012
DROGUE à mon COLLEGE
Dans mon Collège, la drogue
qui circule
Est vendue par des élèves qui
spéculent
Sur ceux qui se pressent et
se bousculent
Pour acheter une dose de fécule
Extraite de mauvaises
tubercules
Qu’ensuite, très vite, ils l’inoculent
Pour avoir leurs yeux, en forme
de bulles
Ô quelles transactions
vraiment nulles
Mais, moi, VALENTIN
Tous les matins
J’ai de la super drogue
La meilleure qui soit en
vogue
Ce n’est pas de la poudreuse
Ni de la beuze
Ni celle que tu roules
Qui te mets les boules
La mienne te sonne
Et résonne
Dans tes oreilles
Quelle merveille
Quel bon plan
Pour tes tympans
Elle te remplit le cervelet
De mille feux follets
Elle circule de bouche à
oreille
Pour en avoir pas
besoin d’oseille
Il faut me guetter après le
cours
Dans les coins de cour
Dans les couloirs
Dès qu’il fait un peu noir
Car Monsieur le PROVISEUR
Pourrai s’étonner de notre
bonheur
Et Madame la CPE
Avec ses beaux yeux
Pourrai nous surprendre avec les
pupilles
Aussi dilatées que nos
anciennes billes
Ils se douteraient que nos attroupements
Cachent un grand bouleversement
Qui pourrai, dans l’avenir
Le collège envahir
Il faut que ma drogue se
propage
Parmi les collégiens de tous âges
Si à ma drogue, tu prends
goût
Tu n’auras jamais de dégoût
Il est super, son goût
Ce n’est pas du ragoût
Alors ta langue fourmille
Passe et repasse sur tes
papilles
Pour tes muqueuses buccales
Je te garantie orgie et bacchanales
Mais si ma drogue tu n’aimes
pas
Tu ne connaîtras pas
De sublimes extases
Tu seras trop souvent sur la
mauvaise phase
Il faudra alors demander à
tes professeurs
De rebrancher ton disjoncteur
Ma drogue, c’est le "vocabulaire"
Alors prends un abécédaire
Fais danser les lettres,
faits des mots
Défait les mots
Mets les en vers
A l’endroit à l’envers
Je sais au début ce n’est pas
rigolo
Mais un jour à ma drogue, des
mots
Tu deviendras accro
Valentin PULICANI
jeudi 2 février 2012
Sauvez Votre Turbulence
Valentin
Aime bien
Le sirop la LIN
Sans poudre perlimpinpin
Sans pépin
Ni venin
C’est divin
Comme le bon vin
Une cuillérée le matin
Journée sans chagrin
Attention intestin
Se tord sans fin
Personne ne s’en plaint
On est trop bien
Pour ne pas faire le pingouin
Il faut lever sa main
Alors on apprendra bien
Des contractions de l’intestin
On regrette la fin
Et mercredi prochain
On espère le même entrain
Pour prendre le train
Des petits malins
Qui nous mènera enfin
Beaucoup plus loin
De la société on sera le
gratin
Si on ne rate pas le train
Sinon on en sera les pantins
A chacun un destin
Selon le choix de son chemin
En les additionnant sur vingt
Comptez vos quelques points
IL faut un maximum de vingt
Pour demain
Ne pas avoir à tendre la main
Pour manger le bon pain
Au bio levain
Valentin PULICANI
En Hommage à un Enseignant d'SVT
Ma pauvre CANEBIERE
Marseille si tu savais
Ô,si tu savais Marseille
Comme je t’aime
Mais comme je t’aime
J’ai honte, j’ai beaucoup trop de peine
Bouleversé par la haine
Tous les jours je prie
Et je supplie
Notre Chère Bonne Mère
Pour que du haut de son belvédère
Sur ta plus célèbre artère
Par un miracle
Qu’elle racle
Qu’elle racle
Cette couche d’athérome
Qui te rends triste et monochrome
Ô ma pauvre CANEBIERE la sclérose
Remplace tes étals de roses
Toutes ces couches de lipides
Cachent mal le creux de tes rides
Ô ma pauvre CANEBIERE
On ne respire plus que tes relents de mauvaises bières
De pauvres hères
Urinent au pied de tes réverbères
Tu t’encrasses
Tu deviens dégueulasse
Tes beaux abris bus
Sont des nids à puce
Toute la populace
Marche dans les déjections
De nos chers petits compagnons
Alors cette populace
Essuie leurs sales godasses
Sur le bord de tes trottoirs
Qui deviennent le soir
D’horribles dortoirs
Prends garde, ils vont devenir des mouroirs
Tes trottoirs
Servent aussi de dépotoirs
Où tous les soirs
Dès que tombe le noir
Des fantômes inconnus
Y déposent leurs détritus
Patrouillent alors sur les tas
De véritables armées de rat
Et que cela pu, ça pu, ça pu
La bonne odeur de bouillabaisse
A aujourd’hui des odeurs de fesses
Même les Belles de Nuit ont disparu
Chassées par les odeurs de culs
Ressaisi-toi ma CANEBIERE pour 2013
Si tu ne veux pas qu’on te biaise
La place de Capitale de la Culture
Aujourd’hui tu es la Capitale des Ordures
Ma CANEBIERE ton accueil a toujours été généreux
Pour tous les miséreux
A la recherche d’un monde meilleur
Pour y poser leur cœur et toutes leurs douleurs
A cause de toute cette saleté
Tu vas abandonner
Ton rôle d’accueil dans la cité
Avant du monde entier on venait
Pour te monter et te descendre
Alors sort plus belle de tes cendres
Ô ma CANEBIERE Chérie, toi qui était si belle
Allume toi de tes nouveaux feux, refais des étincelles
Renfile tes plus belles perles, remets tes plus belles parures
Pour que ta splendeur à nouveau retrouvée perdure
Merci Monsieur GAUDIN
D’être attentif à mon Chagrin
Sinon il sera sans fin
Valentin PULICANI
mercredi 18 janvier 2012
La RAGE à mon AGE
Je
m’appelle Valentin, je suis l’enfant de l’Amour
Mes
Parents me font croire que l’on m’aimera toujours
Quand
je suis au Collège
Pourquoi
les Profs désagrègent
A
longueur de journée et d'année en année
Les
neurones de mon cervelet
Dans
la cour je cours et recours
Toujours
après l’espoir
Que
les Profs me donnent, enfin de vrais cours
Et
plus de devoir
Je
suis sûr que c’est sage
D’avoir
la rage à mon âge
Ne
leurs en déplaisent, je suis de bonne foi
Les
Profs sèchent plus souvent leurs cours que moi
Je
n’ai pas assez de devoir à faire à la maison
Alors
tous les soirs mes Parents à l’unisson
Me
parle de mes devoirs envers la République
Mais
où sont mes droits dans cette école publique
Je
voudrai simplement que l’on s’occupe de moi
Pour
que plus tard je puisse avoir le choix
D’être
un bon citoyen
Qui
élève bien ses Gamins
Plutôt
que d’être un vaurien
Qui
dépouille ses voisins
Les
Profs ne m’apportent rien
Ils
ne nourrissent pas mon cerveau
De
tout ce qui me ferai du bien
Ils
le transforment en caveau
Pour
enterrer mon chagrin
Mes
cahiers ne sont même plus écrits
Ce
ne sont que des suites de photocopies
Depuis
de nombreuses années
Les
Profs nous ont tous clonés
Nous
serons tous des ânes bâtés
Qu’ils
se réjouissent, nos élus
Ils
ont laissé éclore une génération perdu
Les
perdus seront plus faciles à manipuler
Avec
des estomacs et des cerveaux tellement affamés
Que
vont devenir tous ces perdus qui ne penseront qu’à s’enivrer
Qu’à
s’enfumer
Qu’à
se droguer
Pour
oublier que la République n’a pas su comprendre
Toute
notre soif de vouloir apprendre
J’aurai
peut-être droit à une voie de triage
Ou
pire à une voie de garage
Où
j’évacuerai ma rage
Je
vous dirai simplement, honte pour eux
Aujourd’hui,
je suis heureux et généreux
Mais
pour combien de temps encore, avant de devenir haineux
Mais
que mon histoire est cruelle
Elle
aurai pu être super belle
Car
j’ai 12 ans et pleins de rêves merveilleux
Mais
à 20 ans serai-je encore heureux et généreux
Je
vous l’ai dit je suis l’enfant de l’amour
Je
ne veux pas devenir, l’enfant d’un mauvais parcours
Bonne
soirée ……Je vous aime Tous.
Valentin
PULICANI
POURQUOI ?
Au collège
Je ne suis jamais à mon aise
Les Autres avec leurs soi-disant beaux habits
M'humilie
Car il n'y a pas de marques sur les miens
Pour Eux je ne suis rien
Ma seule question: Pourquoi
Ils se comportent comme ça
C'est parce qu'il n'y a pas
Ecrit NIKE sur mes sabots
Ou parce qu'il n'y a pas écrit CELIO
Je ne suis jamais à mon aise
Les Autres avec leurs soi-disant beaux habits
M'humilie
Car il n'y a pas de marques sur les miens
Pour Eux je ne suis rien
Ma seule question: Pourquoi
Ils se comportent comme ça
C'est parce qu'il n'y a pas
Ecrit NIKE sur mes sabots
Ou parce qu'il n'y a pas écrit CELIO
Sur mon dos
Vous pouvez avoir les habits les plus beaux
Ou être habillé par la marque POUBELLE comme les clodos
Pour moi cela ne m’influencera pas
Mon amitié envers Vous sera toujours là
Qu'y a-t-il dans leurs cerveaux
A part les mots
Vous pouvez avoir les habits les plus beaux
Ou être habillé par la marque POUBELLE comme les clodos
Pour moi cela ne m’influencera pas
Mon amitié envers Vous sera toujours là
Qu'y a-t-il dans leurs cerveaux
A part les mots
LACOSTE, LEVIS, NIKE, ou CELIO ...
Valentin PULICANI
dimanche 8 janvier 2012
CHANSON Gaston OUVRARD
JE NE SUIS PAS BIEN PORTANT
Paroles: Géo Koger
Musique: Vincent Scotto, Gaston Ouvrard, 1932
Musique: Vincent Scotto, Gaston Ouvrard, 1932
Depuis que je suis sur
militaire,
Ce n'est pas rigolo. Entre
nous,
Je suis d'une santé précaire,
Et je me fais un mauvais sang
fou,
J'ai beau vouloir me remonter
Je souffre de tous les côtés.
J'ai la rate Qui se dilate
J'ai le foie Qu'est pas droit
J'ai le ventre Qui se rentre
J'ai le pylore Qui se colore
J'ai le gésier Anémié
L'estomac Bien trop bas
Et les côtes Bien trop hautes
J'ai les hanches Qui se
démanchent
L'épigastre Qui s'encastre
L'abdomen Qui se démène
Le thorax Qui se désaxe
La poitrine Qui se débine
Les épaules Qui se frôlent
J'ai les reins Bien trop fins
Les boyaux Bien trop gros
J'ai le sternum Qui se
dégomme
Et le sacrum C'est tout comme
J'ai le nombril Tout en
vrille
Et le coccyx Qui se dévisse
Ah! Bon Dieu! que c'est
embêtant
D'être toujours patraque,
Ah Bon Dieu! que c'est
embêtant
Je ne suis pas bien portant.
Pour tâcher de guérir au plus
vite,
Un matin tout dernièrement
Je suis allé à la visite
Voir le major du régiment.
D'où souffrez-vous? qu'il m'a
demandé.
C'est bien simple que j'y ai
répliqué.
J'ai la rate Qui se dilate,
J'ai le foie Qu'est pas
droit,
Et puis j'ai Ajouté
Voyez-vous Ce n'est pas tout
J'ai les genoux Qui sont mous
J'ai le fémur Qu'est trop dur
J'ai les cuisses Qui se
raidissent
Les guibolles Qui flageolent
J'ai les chevilles Qui se
tortillent
Les rotules Qui ondulent
Les tibias Raplaplas
Les mollets Trop épais
Les orteils Pas pareils
J'ai le cœur En largeur
Les poumons Tout en long
L'occiput Qui chahute
J'ai les coudes Qui se
dessoudent
J'ai les seins Sous le bassin
Et le bassin Qu'est pas sain
REFRAIN
Avec une charmante demoiselle
Je devais me marier par
amour.
Mais un soir comme j'étais
près d'elle,
En train de lui faire la
cour,
Me voyant troublé, elle me
dit:
- Qu'avez vous? moi je lui
répondis:
J'ai la rate Qui se dilate,
J'ai le foie Qu'est pas
droit,
J'ai le ventre Qui se rentre
J'ai le pylore Qui se colore
J'ai le gésier Anémié,
L'estomac Bien trop bas
Et les côtes Bien trop hautes
J'ai les hanches Qui se
démanchent
L'épigastre Qui s'encastre
L'abdomen Qui se démène
Le thorax Qui se désaxe
La poitrine Qui se débine
Les épaules Qui se frôlent
J'ai les reins Bien trop fins
Les boyaux Bien trop gros
J'ai le sternum Qui se dégomme
Et le sacrum C'est tout comme
J'ai le nombril Tout en
vrille
Et le coccyx Qui se dévisse
Et puis j'ai Ajouté
Voyez-vous Ce n'est pas tout
J'ai les genoux Qui sont mous
J'ai le fémur Qu'est trop dur
J'ai les cuisses Qui se raidissent
Les guibolles Qui flageolent
J'ai les chevilles Qui se
tortillent
Les rotules Qui ondulent
Les tibias Raplaplas
Les mollets Trop épais
Les orteils Pas pareils
J'ai le cœur En largeur
Les poumons Tout en long
L'occiput Qui chahute
J'ai les coudes Qui se
dessoudent
J'ai les seins Sous le bassin
Et le bassin Qu'est pas sain
En plus de ça Je vous le
cache pas
J'ai aussi Quel souci!
La luette Trop fluette
L'œsophage Qui surnage
Les gencives Qui dérivent
J'ai le palais Qu'est pas
laid
Mais les dents C'est navrant
J'ai les petites Qui
s'irritent
Et les grosses Qui se
déchaussent
Les canines Se ratatinent
Les molaires Se font la paire
Dans les yeux C'est pas mieux
J'ai le droit Qu'est pas
droit
Et le gauche Qu'est bien
moche
J'ai les cils Qui se défilent
Les sourcils Qui s'épilent
J'ai le menton Qu'est trop
long
Les artères Trop pépères
J'ai le nez Tout bouché
Le trou du cou Qui se découd
Et du coup Voyez-vous
Je suis gêné Pour parler
C'est vexant Car maintenant
Je suis forcé De m'arrêter.
REFRAIN
vendredi 30 décembre 2011
jeudi 29 décembre 2011
Le LABOUREUR et ses ENFANTS
Un
riche Président, d’une certaine République
A
la fin de son mandat politique
Fit
venir ses plus fidèles électeurs, leur parla sans témoins
Gardez-vous,
leur dit-il, de vendre, à qui en aurai besoin
Les
voix dont l’urne électorale sera prochainement rempli
Souhaitons
que le prochain Président, sera du meilleur parti
Je
ne sais pas l’endroit, mais un peu de courage
Vous
le fera trouver ce Président de bon présage
Dès
que l'on aura tiré les Rois à l’Epiphanie
Remuez
votre champ électoral à l’infini
Ne
laissez nul grand, ou petit espace
Où
votre discours, ne passe et repasse
Les
fidèles électeurs allèrent, deçà, delà, partout
Si
bien qu’au bout
Point
de voix perdu
Pour le Président élu
La
MORALE
Le
Vote est un Trésor Démocratique
Que
l’on a reçu en Héritage
C’est
un Acte Citoyen que par Devoir on doit toujours accomplir
Valentin PULICANI
Valentin PULICANI
samedi 24 décembre 2011
Le CORBEAU et le RENARD
Maître
Corbeau, superbement haut perché
Sur
un de ces sales bancs, d’une bien triste cité
Tenait
en son bec, un immense pétard fort bien roulé.
Maître
Renard, par grand besoin de se schooter
Lui
tint à peu près ce discours de bestiaux défoncés.
Hé
Cousin, ça va la famille Corbeau, toujours le cerveau aussi enfumé
Que
ton look me semble en beauté.
Si
ta voix et ton langage
Se
rapporte à ton toilettage
Sans
mentir, sur ta Mère
Tu
vas sortir de cette misère
Cousin,
fini la galère.
Tu
vas trouver des repères.
A
ces mots le Corbeau ne se sent pas de joie
Et
pour faire entendre son langage de rappeur et sa plus belle voix
Il
ouvre un large bec et laisse tomber son majestueux pétard
Le
Renard, qui avec ses yeux hagards,
Surveillait
toute la scène,
S’en
saisi vite sans trop de peine.
Ho, très
grand merci Cousin
De
faire tourner le joint.
PETITE
OBSERVATION :
Dans
les cités quand ils fument un pétard, les Cousins entre eux font tourner le
joint.
Mais si, dans les cités, c’est les Cousins qui
tournent, les Keufs qui ont été joint, ne doivent pas mettre les cousins en pétard, sinon les cités partent en fumée.
Valentin PULICANI
Valentin PULICANI
MOIS de SEPTEMBRE
Mois
de septembre, mois des pleurs,
Mon
chéquier crie de douleur.
De
sa souche s’arrache une par une
Des
feuilles débordantes de tunes.
Mon
Banquier pleure et additionne
Ce
que l’on me ponctionne.
Taxe
Foncière,Taxe d’ Habitation
Me
parviennent avec l’obligation
De
verser au Trésor Public, sous quinzaine
La
totalité de la somme sans aucune haine.
Mon
percepteur a un beau sourire,
Alors
que devant mon chéquier, je soupire.
MORALITE : Si tu veux voir en
octobre ton Banquier sourire ,fais pleurer ton Percepteur.
Valentin PULICANI
Valentin PULICANI
La CIGALE et la FOURMI
Le
Petit Nicolas SARKOSY
Accompagné de la Grande Carla BRUNI
Accompagné de la Grande Carla BRUNI
Ayant
chanté
Tout l'été
Se trouva fort dépourvu
Quand la crise lui tomba dessus.
Plus un seul petit restant d’impôt
Pour se remplir les poches d’Euros .
Le Petit Nicolas dès lors, alla crier famine
Chez la Banque de France sa voisine.
La priant de bien vouloir pour subsister
Quelques lingots d’or lui prêter.
Je vous paierai, avant la fin de mon règne: Foi de Président,
Grâce aux taxes sur les boissons sucrées, qui de plus vous protègerons les dents.
Tout l'été
Se trouva fort dépourvu
Quand la crise lui tomba dessus.
Plus un seul petit restant d’impôt
Pour se remplir les poches d’Euros .
Le Petit Nicolas dès lors, alla crier famine
Chez la Banque de France sa voisine.
La priant de bien vouloir pour subsister
Quelques lingots d’or lui prêter.
Je vous paierai, avant la fin de mon règne: Foi de Président,
Grâce aux taxes sur les boissons sucrées, qui de plus vous protègerons les dents.
La
Banque de France, n'étant pas prêteuse, c’est là son plus noble défaut.
Que
faisiez-vous Petit Nicolas, quand le CAC 40 était au plus haut?
Nuit et jour à tout venant,
Je mentais et faisais des promesses, en chantant, ne vous déplaise.
Ha, vous mentiez et promettiez en chantant. J’en suis fort aise.
Eh bien! Assumez le vote des Electeurs en pleurant maintenant.
Valentin PULICANI
Nuit et jour à tout venant,
Je mentais et faisais des promesses, en chantant, ne vous déplaise.
Ha, vous mentiez et promettiez en chantant. J’en suis fort aise.
Eh bien! Assumez le vote des Electeurs en pleurant maintenant.
Valentin PULICANI
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