vendredi 30 décembre 2011
jeudi 29 décembre 2011
Le LABOUREUR et ses ENFANTS
Un
riche Président, d’une certaine République
A
la fin de son mandat politique
Fit
venir ses plus fidèles électeurs, leur parla sans témoins
Gardez-vous,
leur dit-il, de vendre, à qui en aurai besoin
Les
voix dont l’urne électorale sera prochainement rempli
Souhaitons
que le prochain Président, sera du meilleur parti
Je
ne sais pas l’endroit, mais un peu de courage
Vous
le fera trouver ce Président de bon présage
Dès
que l'on aura tiré les Rois à l’Epiphanie
Remuez
votre champ électoral à l’infini
Ne
laissez nul grand, ou petit espace
Où
votre discours, ne passe et repasse
Les
fidèles électeurs allèrent, deçà, delà, partout
Si
bien qu’au bout
Point
de voix perdu
Pour le Président élu
La
MORALE
Le
Vote est un Trésor Démocratique
Que
l’on a reçu en Héritage
C’est
un Acte Citoyen que par Devoir on doit toujours accomplir
Valentin PULICANI
Valentin PULICANI
samedi 24 décembre 2011
Le CORBEAU et le RENARD
Maître
Corbeau, superbement haut perché
Sur
un de ces sales bancs, d’une bien triste cité
Tenait
en son bec, un immense pétard fort bien roulé.
Maître
Renard, par grand besoin de se schooter
Lui
tint à peu près ce discours de bestiaux défoncés.
Hé
Cousin, ça va la famille Corbeau, toujours le cerveau aussi enfumé
Que
ton look me semble en beauté.
Si
ta voix et ton langage
Se
rapporte à ton toilettage
Sans
mentir, sur ta Mère
Tu
vas sortir de cette misère
Cousin,
fini la galère.
Tu
vas trouver des repères.
A
ces mots le Corbeau ne se sent pas de joie
Et
pour faire entendre son langage de rappeur et sa plus belle voix
Il
ouvre un large bec et laisse tomber son majestueux pétard
Le
Renard, qui avec ses yeux hagards,
Surveillait
toute la scène,
S’en
saisi vite sans trop de peine.
Ho, très
grand merci Cousin
De
faire tourner le joint.
PETITE
OBSERVATION :
Dans
les cités quand ils fument un pétard, les Cousins entre eux font tourner le
joint.
Mais si, dans les cités, c’est les Cousins qui
tournent, les Keufs qui ont été joint, ne doivent pas mettre les cousins en pétard, sinon les cités partent en fumée.
Valentin PULICANI
Valentin PULICANI
MOIS de SEPTEMBRE
Mois
de septembre, mois des pleurs,
Mon
chéquier crie de douleur.
De
sa souche s’arrache une par une
Des
feuilles débordantes de tunes.
Mon
Banquier pleure et additionne
Ce
que l’on me ponctionne.
Taxe
Foncière,Taxe d’ Habitation
Me
parviennent avec l’obligation
De
verser au Trésor Public, sous quinzaine
La
totalité de la somme sans aucune haine.
Mon
percepteur a un beau sourire,
Alors
que devant mon chéquier, je soupire.
MORALITE : Si tu veux voir en
octobre ton Banquier sourire ,fais pleurer ton Percepteur.
Valentin PULICANI
Valentin PULICANI
La CIGALE et la FOURMI
Le
Petit Nicolas SARKOSY
Accompagné de la Grande Carla BRUNI
Accompagné de la Grande Carla BRUNI
Ayant
chanté
Tout l'été
Se trouva fort dépourvu
Quand la crise lui tomba dessus.
Plus un seul petit restant d’impôt
Pour se remplir les poches d’Euros .
Le Petit Nicolas dès lors, alla crier famine
Chez la Banque de France sa voisine.
La priant de bien vouloir pour subsister
Quelques lingots d’or lui prêter.
Je vous paierai, avant la fin de mon règne: Foi de Président,
Grâce aux taxes sur les boissons sucrées, qui de plus vous protègerons les dents.
Tout l'été
Se trouva fort dépourvu
Quand la crise lui tomba dessus.
Plus un seul petit restant d’impôt
Pour se remplir les poches d’Euros .
Le Petit Nicolas dès lors, alla crier famine
Chez la Banque de France sa voisine.
La priant de bien vouloir pour subsister
Quelques lingots d’or lui prêter.
Je vous paierai, avant la fin de mon règne: Foi de Président,
Grâce aux taxes sur les boissons sucrées, qui de plus vous protègerons les dents.
La
Banque de France, n'étant pas prêteuse, c’est là son plus noble défaut.
Que
faisiez-vous Petit Nicolas, quand le CAC 40 était au plus haut?
Nuit et jour à tout venant,
Je mentais et faisais des promesses, en chantant, ne vous déplaise.
Ha, vous mentiez et promettiez en chantant. J’en suis fort aise.
Eh bien! Assumez le vote des Electeurs en pleurant maintenant.
Valentin PULICANI
Nuit et jour à tout venant,
Je mentais et faisais des promesses, en chantant, ne vous déplaise.
Ha, vous mentiez et promettiez en chantant. J’en suis fort aise.
Eh bien! Assumez le vote des Electeurs en pleurant maintenant.
Valentin PULICANI
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