Mois
de septembre, mois des pleurs,
Mon
chéquier crie de douleur.
De
sa souche s’arrache une par une
Des
feuilles débordantes de tunes.
Mon
Banquier pleure et additionne
Ce
que l’on me ponctionne.
Taxe
Foncière,Taxe d’ Habitation
Me
parviennent avec l’obligation
De
verser au Trésor Public, sous quinzaine
La
totalité de la somme sans aucune haine.
Mon
percepteur a un beau sourire,
Alors
que devant mon chéquier, je soupire.
MORALITE : Si tu veux voir en
octobre ton Banquier sourire ,fais pleurer ton Percepteur.
Valentin PULICANI
Valentin PULICANI
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